Le principal musée de Toulouse nous propose de retrouver un pauvre émigrant demi-commingeois devenu le maître de la sculpture pompeuse américaine à la fin du siècle dernier.
Retour «chez lui», c'est à dire au pays de son père qui était originaire d'Aspet, où il va se passer des choses ellesmêmes mémorables samedi. La révolution passe : on va débaptiser une rue du village pour lui donner le nom de ce grand sculpteur américain.
Une association (1) créée à Toulouse par une enfant d'Aspet, Françoise Sarradet, mène un inlassable sabbat pour que personne n'omette jamais le talent de ce commingeoaméricain.
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